Elles ont l’audace féminine de créer des fragrances pour L’Artisan Parfumeur.

Leur audace et leur liberté ont nourri la signature délicate et créative de L’Artisan Parfumeur. Découvrons les parfumeures de L’Artisan Parfumeur.
Révéler une part de soi
La liberté c’est de pouvoir mettre en parfum un peu de soi, mais c’est aussi de l’audace.
L’Artisan Parfumeur nous invite à puiser dans notre mémoire pour composer des parfums inspirés, audacieux. À l’image d’Histoire d’Orangers qui retranscrit mon voyage au Maroc .
Marie Salamagne
Anne Flipo livre aussi une part d’elle en dévoilant ses souvenirs d’enfance dans La Chasse aux Papillons.
Quelle est votre vision de l’audace dans le métier de Parfumeur ?
Ma vision de l’audace c’est de chercher à réinventer des choses tous les jours et se projeter loin, en étant à l’écoute de ses intuitions. L’audace c’est d’oser créer quelque chose de nouveau. Partir du principe que ce qui a été fait n’est plus à faire.
Comment illustrez-vous cette audace dans vos créations pour L’Artisan Parfumeur ?
Mon audace était de mettre en parfum des moments vécus très personnels, des bons moments. Pour La Chasse aux Papillons, je me suis entièrement replongée dans un souvenir d’enfance, quand nous allions avec mon frère chasser les papillons dans un jardin luxuriant, l’été en culottes courtes.
Anne Flipo
Prendre d’autres chemins olfactifs
L’audace c’est aussi transgresser, aller vers de nouveaux horizons olfactifs. Pour Un Air de Bretagne, Juliette Karagueuzoglou détourne l’algue de l’alimentaire pour lui apporter de l’élégance et de la fluidité.
Quelle est votre vision de l’audace dans le métier de Parfumeur ?
Je pense que l’audace c’est avant tout d’oser, toujours, prendre des risques. Et prendre des risques, c’est aussi oser des idées créatives, en faisant tout pour les rendre confortables, accessibles, tout en maintenant leurs singularités. »
Comment illustrez-vous cette audace dans vos créations pour L’Artisan Parfumeur ?
« Pour Un Air de Bretagne, l’audace était cette envie de travailler autour de l’algue, qui peut pourtant être associée à la nourriture, en la mettant au premier plan d’une création pour une marque aussi poétique et qualitative que L’Artisan Parfumeur. Il a fallu lui apporter de l’élégance, de la fluidité, sans jamais la cacher ou la couvrir.
Juliette Karagueuzoglou
Pour Céline Ellena, l’audace c’est aussi d’accepter des projets inattendus, décalés et risqués , comme Bana Banana. Tout l’enjeu était de créer une note qui évoque celle d’un fruit, la banane.
Pour Aliénor Massenet l’audace se traduit aussi par l’innovation grâce aux nouvelles technologies pour sortir de sa zone de confort.
Suivre son instinct
L’audace, c’est de croire en soi, en ses idées, en ses inspirations. Un pari souvent difficile, mais auquel L’Artisan Parfumeur laisse libre cours, explique Karine Dubreuil.
Quelle est votre vision de l’audace dans le métier de Parfumeur ?
L’audace dans un métier artistique est de sortir des sentiers battus ce qui n’est pas simple dans notre métier car il est long dans ses évolutions de tendances olfactives. Les consommateurs mettent du temps à s’adapter à de nouvelles notes ou de nouveaux accords. De plus, les lancements sont tellement nombreux et rapides maintenant qu’il est plus difficile de créer de la nouveauté et de la surprise qu’auparavant où les lancements étaient de vrais évènements.
Comment illustrez-vous cette audace dans vos créations pour L’Artisan Parfumeur ?
Pour Mûre et Musc Extrême le challenge était grand car c’était le best-seller de la maison depuis des années. Je l’ai voulu plus direct dans ses notes fruits rouges, que j’ai poussées et rendues plus gourmandes. Il est aussi moins frais en tête pour avoir un accès plus rapide aux muscs que j’ai travaillés avec des effets beaucoup plus peau, sensuels.
Karine Dubreuil
Je défends mes parti-pris, affirme Aliénor Massenet, qui aime allier ses convictions à sa créativité.