La rentrée littéraire est commencée et grâce à #massecritique de Babelio et Belfond, voici ma critique de la semaine sur Angélita M La Lecture, Tout ce qui est solide se dissout dans l’air de Darragh McKeon
Je voulais que les pages défilent vite tellement j’ai trouvé prenant, Un si beau soleil pour mourir de James Patterson.

Mais aussi cet autre #massecritique de Babelio. Tiré à quatre épingles de Pascal Marmet.
Nouveauté de la rentrée chez Presses de la Cité. Une couverture qui donne vraiment envie. Enfin pour moi, Le Doute de S.K. Termayne. Lu très vite car j’ai vraiment adhéré. Chronique à venir.

Présentation de l’éditeur :
L’une des filles jumelles de Sarah est morte. Mais laquelle ?
Un an après le décès accidentel de Lydia, l’une de leurs filles jumelles, Angus et Sarah Moorcroft quittent Londres pour oublier le drame. Ils s’installent sur une petite île écossaise, qu’ils ont héritée de la grand-mère d’Angus, au large de Skye.
Mais l’emménagement ne se passe pas aussi bien que prévu. Le comportement de Kirstie, leur fille survivante, devient étrange : elle se met à affirmer qu’elle est en réalité Lydia. Alors qu’un brouillard glacial enveloppe l’île, l’angoisse va grandissant… Que s’est-il vraiment passé en ce jour fatidique où l’une des deux soeurs a trouvé la mort ?S. K. Tremayne signe un thriller psychologique à vous glacer le sang, avec le thème fascinant de la gémellité, et prend le temps d’installer un cadre hostile et troublant à la fois. Alors que l’intrigue se resserre, la nature se fait de plus en plus menaçante…
« Si vous pensiez que Les Apparences étaient un bon roman, vous serez époustouflé par celui-ci. » The Times

Présentation de l’éditeur Flammarion Jeunesse :
D’un blanc cristallin, ce blanc dur et froid, presque bleu, le dragon de glace était couvert de givre ; quand il se déplaçait, sa peau se craquelait telle la croûte de neige sous les bottes d’un marcheur et des paillettes de glace en tombaient. Il avait des yeux clairs, profonds, glacés. Il avait des glaçons pour dents, trois rangées de lances inégales, blanches dans la caverne bleue de sa bouche.
S’il battait des ailes, la bise se levait, la neige voltigeait, tourbillonnait, le monde se recroquevillait, frissonnait. S’il ouvrait sa vaste gueule pour souffler, il n’en jaillissait pas le feu à la puanteur sulfureuse des dragons inférieurs. La dragon de glace soufflait du froid. »Auteur du fabuleux cycle du Trône de Fer, George R. R. Martin nous prouve à travers les quatre nouvelles de ce recueil qu’il est aussi bon romancier que noveliste. Il sait tisser des intrigues passionnantes et des personnages puissants, aussi attirants qu’inquiétants.
Ce recueil contient aussi L’Homme en forme de pore, prix Bram Stocker et Portrait de Famille, prix Nebula.